2 Février 2012
il me reste encore des livres dans ceux que j'ai achetés à Noël... je vous fais partager mes pensées au fur et à mesure, mais je n'ai pas encore tout dit sur les autres...
dans celui-ci on fait la différence entre la santé psychologique et la santé psychique. chacun va absolument à son rythme et comme pour le développement physique les étapes à franchir sont les mêmes pour tous les enfants, quoique on peut murmurer que certains adultes ne sont pas arrivés à franchir certains caps de la petite enfance, comme ceux par exemple qui dépensent pour se donner à apparaitre, alors qu'ils auraient du apprendre à se libérer de cette contrainte.
ce que j'ai apprécié, c'est qu'un enfant lorsqu'il joue peut exprimer autre chose qui n'a rien à voir avec son jeu. il faut prendre du temps pour s'en apercevoir.
j'ai adoré dans les premières pages la description du bébé qui tête, sa façon de jouer à appaiser l'angoisse de la faim.
j'ai sauté toutes les pages pour immédiatement savoir ce qui concerne les 2 ans puisque j'en ai 5 à la maison. A 2 ans certains en sont encore parfois à peaufiner des acquisitions qu'ils auraient laissé de côté lors des premiers mois. ils en ont le droit.
et mon rôle si je veux être une bonne professionnelle, c'est de suivre les conseils de la psy dans ma façon de donner à jouer (EPSTEIN)... (Je suis tellement trop forte que j'arrive à associer plusieurs psy entre eux...)
Donc, ce qui mijote là-haut sous mes cheveux, c'est un nouveau plan de travail qui correspond à ce que j'ai retenu dans mes lectures spécialisées. (je ne vais pas m'atteler à reproduire des méthodes qui ne me vont pas comme un gant).
je dois être convaincue que ce que je fais c'est ce qui est bon pour l'enfant -et pour tous.
vous commencez à mieux me connaitre parce que je me livre sur mon blog et je vous dépose mon raisonnement. en aucun cas je ne dis qu'il faut faire ce que je fais. au contraire, plus il y a de différences, et + il y a de possible.
C'est un fait reconnu, je déteste le manque de créativité.