14 Avril 2012
En attendant de pouvoir regarder mon ami Ruquier, je viens de lire EJE journal. Je ne l'achète pas tous les mois, mais cette fois-ci j'ai été très intéressée par des témoignages d'éducatrices qui m'ont fait voir un peu l'envers du décor. des fois je me dis que j'aimerais beaucoup étudier davantage sur le jeune enfant. comme une éducatrice.
Mais bon, ce n'est pas le tout ces 3 ans d'études, encore faut-t-il avoir la chance de travailler dans une structure où règne une bonne communication. Apparemment c'est plus souvent le contraire.
Du coup je me suis transposée en situation avec les pires personnes avec qui je ne voudrais surtout pas travailler, j'en ai presque déprimé d'avance en lisant tous les détails qui sont si bien rapportés qu'on croirait les avoir vécus.
Non, je garde mon job de nounou, je ne suis pas plus débordée qu'une EJE, pas moins bien payée si on ne considère pas tous les rtt que je n'ai pas, ni les 13ème mois, ni les frais de repas remboursés en nature...
Non, j'aime mieux ma liberté et toutes mes responsabilités.
Ma façon de travailler correspond à ma façon de voir la vie, pas à celle d'une directrice qui pourrait me détruire à petits feus.
Je compatis à leur demande de reconnaissance de la société et j'espère moi aussi que le prochain président pourra s'atteler à la petite enfance, surtout que tant qu'il y serait il pourrait aussi nous filer un petit coup de main ?